De l’hêtre aux chênes
Un revers dans la piste, inévitable de révolte
alors que tout vole en éclat de verre
Aujourd’hui comme hier, Air vicié sur la première
Il font fructifier le sang, récupère la misère
Ils nous assèchent pour le profit et Nous l’a font boire à l’envers
Ils voudront tout masqué et vous visser la visière
baratins en camisole, camions et matricules, un qui matraque, l’autre qui l’enc**
Et ils diront d’où viennent la violence. Que c’est le résultat de nos travers
Ils diront que c’est pour votre bien
Que nous ne sommes…
que d’irréductibles terroristes verts.
Ils voudront tout rasé, et si ils le peuvent, ils raseront tout, je t’assure.
les oiseaux de fer prônent la liberté sous armature.
Regarde ce qui pousse, met en mouvement, s’élève
Sous le béton qui fissure
Regarde où tu marche quand la terre se soulève
Entends-tu ?
Les pas dans la boue. feu du peuple qui s’embrase
Des bâtons résonnent au sol, la colère dans les braises
Après la brume , Entends tu ce qui revient des ruines ?
Le peuple, de la sève dans les veines
Le triton à crête dans la Lande
Le chant des loups sous la lune pleine.